2011
samedi 01 janvier 2011

“Chaque nuit, les ondes affluaient et l'emportaient sur leurs énormes vagues sonores, passive, les veux grands ouverts, vers le matin. Depuis deux ans, pas une seule nuit ne s'était écoulée sans que Mildred ne se soit laissé porter par cette mer, ne s'y soit plongée et replongée avec délices.”
R. Bradbury, Fahrenheit 451, 1953